11/2024
De plus en plus de salariés, en particulier les millenials et de manière encore plus marquée la génération Z, aspirent à travailler tout en explorant le monde. 🌏 Le mode de vie "digital nomad", longtemps perçu comme marginal, attire aujourd'hui une nouvelle génération de travailleurs en quête de flexibilité et de liberté.
Il faut dire qu’avec les progrès technologiques et l’essor du télétravail, être digital nomad est devenu plus accessible que jamais.
En particulier, les domaines du marketing digital et de la communication permettent à de nombreux métiers de se réaliser à distance.
Ces travailleurs itinérants recherchent un mode de vie qui casse les codes traditionnels du "9h-18h" en entreprise, 💥troquant le bureau pour des cafés, des plages, ou des coworkings à l’autre bout du monde (selon de nombreux comptes Instagram…).
Le phénomène a pris une telle ampleur que le marché du véhicule aménagé (ainsi que le prix des vans et campings-cars) a explosé au cours de ces dernières années.
D’un côté, de nombreux influenceurs et créateurs de contenu partagent leur expérience de nomadisme digital sans regretter ce choix, réussissant à concilier travail et voyage tout en maintenant une stabilité financière.
Ces témoignages convergent la plupart du temps vers le même discours : le mode de vie, s’il est bien organisé, peut durer des années (à condition bien sûr de faire quelques concessions sur le plan matériel).
Un débat s’instaure alors.
Car d’un autre côté, certains soulignent les risques de précarité et l’insécurité à vivre sur les routes toute l’année (des reproches plus souvent faits aux femmes).
Mais selon les adeptes du digital nomadisme, tout genre confondu, il ne s’agirait là que de “croyances limitantes”, rapidement balayées d’un revers de main.
Se pose aussi la question du recrutement… 🤝
Car au sein de certaines entreprises et start-ups, lassées de ne plus voir leurs collaborateurs, on observe un retour en puissance du présentiel. Un argument qui ne pose a priori pas de problème puisque le digital nomad a davantage l’étoffe d’un freelance (parfois reconverti) que d’un salarié à temps plein en CDI.
Concluons cet article sur une note pleine de sagesse : si voyager tout en travaillant s’avère être excitant à 25 ou 30 ans, ou “sur le tard” une fois débarrassé des responsabilités familiales, les aspirations changent avec le désir de se sédentariser.
→ Et vous ? Quelle est votre (nouvelle) façon de travailler ?
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