Travailler dans la communication signifie-t-il rester assis toute la journée ?

‍“T’as de la chance de bosser dans la com’ et de pouvoir t'asseoir, t’es jamais fatigué du coup !”

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Si :

votre oncle (agent de voirie titulaire de la Fonction Publique),

votre belle-sœur (restauratrice depuis 20 ans)

ou votre voisine (infirmière de nuit) vous ont déjà sorti cette phrase…

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Alors vous savez à quel point l’envie de hurler en silence une fois seul·e peut vous démanger. 📣

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Certains métiers, par exemple responsable communication ou chargé·e marketing, nécessitent d’avoir comme principal outil de travail un ordinateur 💻et d’être très régulièrement assis.

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Et c’est pour cette même dernière raison qu’ils souffrent parfois d’une mauvaise réputation.

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On les envie, on ne les plaint pas, voire on s’amuse de les voir prendre un doliprane vers 17h00…

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Pourtant, une étude menée par LinkedIn cette année a mis en lumière une réalité :

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37 % des salariés évoluant dans le secteur de la communication ont déclaré être proches de l’épuisement professionnel.

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Une fatigue mentale plus que physique‍

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Si les métiers manuels ou impliquant des horaires irréguliers entraînent une fatigue physique évidente, les métiers de la com, eux, sont marqués par :

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🧠des charges mentales élevées,

⏳ des deadlines difficiles à tenir,

👩‍💻et des exigences multiples.

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Tous ces facteurs contribuent à une forme de fatigue pas toujours visible

mais bien réelle !

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Heureusement, tout n’est pas noir et le secteur n’est pas le plus à plaindre ;)

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L’étude précise en effet que l'éducation ou les métiers du social présentent des taux encore plus élevés d’épuisement, avec des chiffres atteignant 49%.

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“Je préfère les métiers de terrain. 👊”

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Pour ceux qui n'oseraient pas se lancer dans la com par crainte d’avoir des fourmis dans les jambes, sachez qu’il est aussi possible d’investir dans des bureaux “assis-débout”.

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